22 septembre 2008
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... Mais c'est bien impossible.
Pourquoi?
Parce que je n'ai pas suffisament de métaphores et d'images pour les camoufler, pour les cacher à la vue de tous.
Il ne s'agit plus de petits détails devant lesquels il n'y a qu'à fermer les yeux.
Pourquoi j'ai cette impression que plus j'avance, plus les choses se précipitent.
Pourquoi j'ai cette impression que plus j'avance, plus rien n'aurait pu se passer différement.
Pourquoi j'ai cette impression que plus j'avance, moins j'ai de temps.
Je pensais pouvoir temporiser. Je pensais avoir du temps devant pour voir venir, pour anticiper, mettre tout en place élément par élément. Et me voilà pris dans ma propre toile. Petites choses tissées pour plus tard, qui finalement prennent de l'avance sur le tout le reste.
Et ces deux choses que personne n'a compris. Pourtant, je l'ai dit. Plusieurs fois. Mais comme toujours, je n'ai aucune crédibilité quand je suis sérieux.
J'ai appris à m'organiser. Des croix, des colonnes... Et me voilà depuis quelques semaines à organiser ma vie de la même manière. Quelle idée? Pourquoi toutes ces choses doivent à ce point transpirer sur le reste. Je n'ai plus envie de faire des efforts. Et pourtant.... Et pourtant je vais en faire. Je n'ai plus envie de convaincre. Et pourtant je vais le faire. Je n'ai plus envie de me battre un peu plus chaque jour. Et pourtant.... Quelle est la part de ma vie que j'ai choisi délibérément?
Le tout bien sûr.
Quuand à toi.... Tu te ments à toi même. A essayer de coller à cette image qui ne te ressemble pas. Et pire encore, à tout mettre en oeuvre pour correspondre à cet idéal. Tu crois gagner des ailes quand tu y perd ton âme. Et toujours la même question... J'avance et je ne resterais pas en réserve pour assurer la sécurité au cas où. Les chutes, c'est comme les choix, il y en a qu'il faut faire soi même.
Je deteste ça.
Pourquoi?
Parce que je n'ai pas suffisament de métaphores et d'images pour les camoufler, pour les cacher à la vue de tous.
Il ne s'agit plus de petits détails devant lesquels il n'y a qu'à fermer les yeux.
Pourquoi j'ai cette impression que plus j'avance, plus les choses se précipitent.
Pourquoi j'ai cette impression que plus j'avance, plus rien n'aurait pu se passer différement.
Pourquoi j'ai cette impression que plus j'avance, moins j'ai de temps.
Je pensais pouvoir temporiser. Je pensais avoir du temps devant pour voir venir, pour anticiper, mettre tout en place élément par élément. Et me voilà pris dans ma propre toile. Petites choses tissées pour plus tard, qui finalement prennent de l'avance sur le tout le reste.
Et ces deux choses que personne n'a compris. Pourtant, je l'ai dit. Plusieurs fois. Mais comme toujours, je n'ai aucune crédibilité quand je suis sérieux.
J'ai appris à m'organiser. Des croix, des colonnes... Et me voilà depuis quelques semaines à organiser ma vie de la même manière. Quelle idée? Pourquoi toutes ces choses doivent à ce point transpirer sur le reste. Je n'ai plus envie de faire des efforts. Et pourtant.... Et pourtant je vais en faire. Je n'ai plus envie de convaincre. Et pourtant je vais le faire. Je n'ai plus envie de me battre un peu plus chaque jour. Et pourtant.... Quelle est la part de ma vie que j'ai choisi délibérément?
Le tout bien sûr.
Quuand à toi.... Tu te ments à toi même. A essayer de coller à cette image qui ne te ressemble pas. Et pire encore, à tout mettre en oeuvre pour correspondre à cet idéal. Tu crois gagner des ailes quand tu y perd ton âme. Et toujours la même question... J'avance et je ne resterais pas en réserve pour assurer la sécurité au cas où. Les chutes, c'est comme les choix, il y en a qu'il faut faire soi même.
Je deteste ça.