4 septembre 2008
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09:21
... Sur l'épuisement.
Bon je suis à la bourre sur absolument tout, mais ça je l'ai déjà écrit une fois par le passé, même plus d'une fois.
J'ai même pas l'énergie pour écrire un article. Ce sera donc décousu.
Au taf, pas une seconde à perdre, optimiser chaque moment pour les textures. En gros j'ai multiplié la cadence par deux, quand avant il me fallit une journée pour faire les textures à l'heure actuelle il me faut une journée pour faire les modèles 3D et les textures par dessus. Je tourne à l'eau et au sucre de canne. Mais c'est un peu épuisant... Un peu, tu parles...
A midi quand je rentres chaque seconde compte, j'ai le temps de faire la vaisselle, les courses, de mettre au point ma liste "à faire", de manger un peu aussi. Et c'est reparti.
Le soir en rentrant c'est la suite de la vidéo jusqu'à minuit une heure du mat.
Et dans tout ça, mon seul temps de pause c'est maintenant, quand je mets mon blog à jour.
Dire qu'il y a un ou deux jours je demandais une journée de pause... J'ai même pas cinq minutes.
Ca devient fatiguant de voir sa vie comme une course contre le temps. Le temps gagne toujours, mais au moins je cours jusqu'au bout et presque à l'heure à chaque fois.
Alors je sais, en ce moment je suis un peu loin. C'est pas franchement ce que j'ai envie... Mais sauf que là, je dois juste avancer, le plus vite possible, et dans ces cas là, malheureusement il faut faire des choix sur le temps qu'on prend pour chaque chose qui compte. Mais je compte bien me rattrapper.
12 secondes de terminée pour le moment, mon rapport de stage qui en est au tiers fini et mon mémoire qui n'a pas encore commencé. 3 days left. Mais je vais tenir, sûr.
J'aimerais bien quand même pauser un peu.
Levé, travail, travail, travail, coucher, dodo.
Coucher, dodo. Après une journée bien épuisante, justement le moment ou la seule envie c'est de se blottir confortablement contre quelqun pour s'endormir.
En même temps c'est justement dans ces moments là que j'avais droit à la série de reproches qui tuent et aux prises de tête. Donc bon finalement....
Entre juste des difficultés ou des problèmes sur des difficultés. Hum je sais je suis un peu injuste, mais un peu seulement.
Mpf, c'est quand même bien le moment le plus difficile, rentrer chez soi après une journée fatiguante, trouver la motivation poue continuer, allumer l'ordi et s'y remettre quand la seule envie du moment c'est de se poser et de raconter sa journée. Raconter toutes ces petites choses à la con, tous les petits détails, les questions existentielles aussi, les difficultés, les questions pour la suite. Bon faut juste avoir quelqun à qui raconter, sinon on finit par parler à son chien ou à son chat, ou à son canapé faute d'animal de compagnie à la maison. Il faut aussi avoir quelqun à qui raconter qui ne fasse pas genre ce que font les enfants quand leur grand père leur raconte sa vie d'antant, écouter poliment en attendant que ça passe. Qui ne fasse pas genre, j'écoute j'écoute, je balance une ou deux remarques faciles pour faire semblant d'entretenir la conversation ou je balance une série de stéréotypes qui finalement ne servent à rien d'autre qu'à faire semblant ed s'intéresser. Bon pour le moment j'ai pas trop trop fréquenté des gens comme ça. En même temps j'ai pas souvent raconté ma journée et mes soucis.
Bon zou, assez passé de temps ici, il est temps de faire ces vêtements...
Bon je suis à la bourre sur absolument tout, mais ça je l'ai déjà écrit une fois par le passé, même plus d'une fois.
J'ai même pas l'énergie pour écrire un article. Ce sera donc décousu.
Au taf, pas une seconde à perdre, optimiser chaque moment pour les textures. En gros j'ai multiplié la cadence par deux, quand avant il me fallit une journée pour faire les textures à l'heure actuelle il me faut une journée pour faire les modèles 3D et les textures par dessus. Je tourne à l'eau et au sucre de canne. Mais c'est un peu épuisant... Un peu, tu parles...
A midi quand je rentres chaque seconde compte, j'ai le temps de faire la vaisselle, les courses, de mettre au point ma liste "à faire", de manger un peu aussi. Et c'est reparti.
Le soir en rentrant c'est la suite de la vidéo jusqu'à minuit une heure du mat.
Et dans tout ça, mon seul temps de pause c'est maintenant, quand je mets mon blog à jour.
Dire qu'il y a un ou deux jours je demandais une journée de pause... J'ai même pas cinq minutes.
Ca devient fatiguant de voir sa vie comme une course contre le temps. Le temps gagne toujours, mais au moins je cours jusqu'au bout et presque à l'heure à chaque fois.
Alors je sais, en ce moment je suis un peu loin. C'est pas franchement ce que j'ai envie... Mais sauf que là, je dois juste avancer, le plus vite possible, et dans ces cas là, malheureusement il faut faire des choix sur le temps qu'on prend pour chaque chose qui compte. Mais je compte bien me rattrapper.
12 secondes de terminée pour le moment, mon rapport de stage qui en est au tiers fini et mon mémoire qui n'a pas encore commencé. 3 days left. Mais je vais tenir, sûr.
J'aimerais bien quand même pauser un peu.
Levé, travail, travail, travail, coucher, dodo.
Coucher, dodo. Après une journée bien épuisante, justement le moment ou la seule envie c'est de se blottir confortablement contre quelqun pour s'endormir.
En même temps c'est justement dans ces moments là que j'avais droit à la série de reproches qui tuent et aux prises de tête. Donc bon finalement....
Entre juste des difficultés ou des problèmes sur des difficultés. Hum je sais je suis un peu injuste, mais un peu seulement.
Mpf, c'est quand même bien le moment le plus difficile, rentrer chez soi après une journée fatiguante, trouver la motivation poue continuer, allumer l'ordi et s'y remettre quand la seule envie du moment c'est de se poser et de raconter sa journée. Raconter toutes ces petites choses à la con, tous les petits détails, les questions existentielles aussi, les difficultés, les questions pour la suite. Bon faut juste avoir quelqun à qui raconter, sinon on finit par parler à son chien ou à son chat, ou à son canapé faute d'animal de compagnie à la maison. Il faut aussi avoir quelqun à qui raconter qui ne fasse pas genre ce que font les enfants quand leur grand père leur raconte sa vie d'antant, écouter poliment en attendant que ça passe. Qui ne fasse pas genre, j'écoute j'écoute, je balance une ou deux remarques faciles pour faire semblant d'entretenir la conversation ou je balance une série de stéréotypes qui finalement ne servent à rien d'autre qu'à faire semblant ed s'intéresser. Bon pour le moment j'ai pas trop trop fréquenté des gens comme ça. En même temps j'ai pas souvent raconté ma journée et mes soucis.
Bon zou, assez passé de temps ici, il est temps de faire ces vêtements...