3 avril 2009
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... Dans cette même situation encore et encore. Celle qui fait tomber d'un côté dans du gauchisme stupide, de l'intolérance et du sectarisme, celle qui fait baisser les bras et jeter l'éponge de l'autre.
L'impression qu'on combat des moulins, mais que ces moulins soufflent tellement fort que chaque pas coûte l'énergie de toute une vie.
J'ai de moins en moins de patience, de moins en moins l'envie d'être compréhensif, de moins en moins l'envie d'avancer à petits pas dans le noir. Et pourtant je ne veux pas devenir ce que je dénonce.
Et à nouveau face à l'injustice dans toute son expression, face à une bande de connards qui laissent faire... Espèces de barons de la France "d'en haut" qui ne vivient que dans une forme de jet-set. Et rien ne semble les atteindre. Tout ceux qui ont tenté de lancer des pierres ont finis par abandonner et ont préférer utiliser ces pierres pour eux même, pour se construire une petite maison confortable, petite maison qui est devenue leur prison.
Chaque pas en avant les renforce, ou plutôt affaiblit le camp d'en face. Bientôt nous n'auront même plus de mots pour lutter. Et devant ce sentiment d'urgence, cette envie de crier au monde "arrêtons ça et enfonçons les portes pour reprendre ce qui est à nous. Notre vie, notre avenir... L'impression d'un calme plat...". A nouveau...
Nous avons entre nos mains les outils les plus puissants du monde, les seuls qui puissent construire un avenir pour tout le monde. Et qu'est-ce que nous en faisons...? Peu de chose.
Et de l'autre côté? Une poignée de gens qui donnent raisons dans leurs actes à tout ce contre quoi nous nous battons...
Comment dénoncer le harcellement policier quand une bande de connard leur donnent raison? Du moins aux yeux du monde...
A nouveau prendre sur soi et construire lentement...
Le liberalisme n'a besoin que de résignation pour progresser.
L'impression qu'on combat des moulins, mais que ces moulins soufflent tellement fort que chaque pas coûte l'énergie de toute une vie.
J'ai de moins en moins de patience, de moins en moins l'envie d'être compréhensif, de moins en moins l'envie d'avancer à petits pas dans le noir. Et pourtant je ne veux pas devenir ce que je dénonce.
Et à nouveau face à l'injustice dans toute son expression, face à une bande de connards qui laissent faire... Espèces de barons de la France "d'en haut" qui ne vivient que dans une forme de jet-set. Et rien ne semble les atteindre. Tout ceux qui ont tenté de lancer des pierres ont finis par abandonner et ont préférer utiliser ces pierres pour eux même, pour se construire une petite maison confortable, petite maison qui est devenue leur prison.
Chaque pas en avant les renforce, ou plutôt affaiblit le camp d'en face. Bientôt nous n'auront même plus de mots pour lutter. Et devant ce sentiment d'urgence, cette envie de crier au monde "arrêtons ça et enfonçons les portes pour reprendre ce qui est à nous. Notre vie, notre avenir... L'impression d'un calme plat...". A nouveau...
Nous avons entre nos mains les outils les plus puissants du monde, les seuls qui puissent construire un avenir pour tout le monde. Et qu'est-ce que nous en faisons...? Peu de chose.
Et de l'autre côté? Une poignée de gens qui donnent raisons dans leurs actes à tout ce contre quoi nous nous battons...
Comment dénoncer le harcellement policier quand une bande de connard leur donnent raison? Du moins aux yeux du monde...
A nouveau prendre sur soi et construire lentement...
Le liberalisme n'a besoin que de résignation pour progresser.