18 mars 2009
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... De se cacher derrière de fausses excuses. Derrière des regrets de mondes qui n'existent pas. Pas le temps, d'autres choses à faire avant.
Pas fait, c'est comme ça... Et poum, un matin le train est déjà passé. On est en retard, encore, encore, encore et on cours après pour le rattrapper. On se rappelle alors les promesses d'avant, on se dit qu'il fallait partir à l'heure voilà tout. Et on regrette encore. Un autre monde est possible, le rêver c'est facile aussi. Il suffit de se dire qu'on était à l'heure.
Seulement à courir après le temps ou à imaginer ce qui ce serait passé si.... On se retrouve à nouveau en retard.
Le train est passé, c'est tout. J'ai du temps.
J'ai 24h par jour, ce qu'il y a à l'intérieur je le décide tous les matins en me couchant. Ce que je laisse y mettre, je le décide à chaque fois que je dis oui ou non, à chaque fois que je dis, je serais là... ou pas.
Le passé n'existe plus. On joue avec les cartes qu'on a en main, avec les jetons qu'on a cumulé, pas avec les cartes que l'on voudrait avoir dans un monde hypothétique ou tout se passe selon nos souhaits.
Tout ce qu'on peut décider ensuite, c'est avec qui on joue, contre qui on joue.
Et crier à l'indépendance..
On s'ennui quand on joue tout seul, mais ça fait du bien à l'égo de se dire qu'on a besoin de personne. Qu'on est libre. Le sourire jusqu'au oreilles à gambader dans la campagne. Et seul. Et seul on ne fait rien. On meurt seul voilà tout.
Tout n'est qu'une question de priorité. Et de savoir avec qui on fait son chemin.
Pas fait, c'est comme ça... Et poum, un matin le train est déjà passé. On est en retard, encore, encore, encore et on cours après pour le rattrapper. On se rappelle alors les promesses d'avant, on se dit qu'il fallait partir à l'heure voilà tout. Et on regrette encore. Un autre monde est possible, le rêver c'est facile aussi. Il suffit de se dire qu'on était à l'heure.
Seulement à courir après le temps ou à imaginer ce qui ce serait passé si.... On se retrouve à nouveau en retard.
Le train est passé, c'est tout. J'ai du temps.
J'ai 24h par jour, ce qu'il y a à l'intérieur je le décide tous les matins en me couchant. Ce que je laisse y mettre, je le décide à chaque fois que je dis oui ou non, à chaque fois que je dis, je serais là... ou pas.
Le passé n'existe plus. On joue avec les cartes qu'on a en main, avec les jetons qu'on a cumulé, pas avec les cartes que l'on voudrait avoir dans un monde hypothétique ou tout se passe selon nos souhaits.
Tout ce qu'on peut décider ensuite, c'est avec qui on joue, contre qui on joue.
Et crier à l'indépendance..
On s'ennui quand on joue tout seul, mais ça fait du bien à l'égo de se dire qu'on a besoin de personne. Qu'on est libre. Le sourire jusqu'au oreilles à gambader dans la campagne. Et seul. Et seul on ne fait rien. On meurt seul voilà tout.
Tout n'est qu'une question de priorité. Et de savoir avec qui on fait son chemin.